En 17 ans de présence pastorale à l’ESTIC, combien de fois ai-je entendu des jeunes me dire : « on vit- on meurt », donnant l’impression d’un temps furtif, sans aucun sens.
N’avons-nous pas le devoir de guider les jeunes aux mystères de la vie et les accompagner dans leurs grandes questions ?
Et dans cette société bien déchristianisée, le message du Christ et l’héritage de l’Eglise a-t-il encore sa place ?